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Vivre est un art !
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Bienvenus au site du bien-être par des mots ! Oui, à partir de ces mots, vous allez vous sentir beaucoup mieux : Dans le registre de la littérature et de la psychologie, de nombreux termes laissent une trace, permettent de qualifier l'état dans lequel se trouve votre âme qui réalise l'empire sur votre soi-même, loin de l'opinion dominante, de la civilisation de la chirurgie esthétique et des moeurs établies, la sage pensée, la plus simple possède son désir sans être possédée par ces géant de notre nouvelle mythologie. Aux heures nécessaires de vos petits combats quotidiens, la philosophie est toujours d'actualité, on n'aime plus les poètes, vous caressez puissamment le projet de la richesse dans lequel vous souhaitez précipiter les oeuvres complètes des vos tendres rêves, détestés au point d'en vouloir effacer la trace sur votre inconscient ? Un dur désir enseigne la soumission des hommes à un destin plus fort qu'eux , de sorte que le désir se lit et décline sur le mode de la nécessité désespérante. Naturellement, Fondamentalement et essentiellement, vous cherchez la beauté d'un mot, d'une phrase, ou d'une pensée. Je sens épaissir le secret en découvrant un jour que l'écriture était mon destin, et que vous pouvez sentir les finalités des mots, pour un petit effort : Lire, suivez mes rubriques vous en sortez satisfaits.
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Le Bonheur ! Le sacré bonheur, en lisant ces textes, vous le trouverez entre vos mains, à la portée de votre possibilité si belle à vous donner du bonheur ! |
Souffrance méconnue : - Les natures grandioses souffrent autrement que leurs admirateurs ne se l'imaginent : c'est pas les émotions vulgaires et mesquines, à savoir par les doutes que leur inspire leur propre grandeur, qu'ils souffrent le plus - et non pas par les sacrifices et les martyres que leur tâche exige d'eux. Tant que Prométhée éprouve de la pitié pour les hommes et se sacrifie pour eux, il est heureux et grand par soi-même ; mais lorsqu'il devient jaloux de Zeus et des hommages que les mortels apportent à celui-ci, - c'est alors qu'il souffre !
Nietzsche
VIE
Que j’admire… !
«A l’arrivée de la réalité, si dure à adapter, la situation de folie semblait ma dernière maison de refuge au fond de la non–existence et du non–lieu : l’aube bleue de nul part ou jouent l’imaginaire et le rêve, font sortir un tic
de questions que jusque-là, on n’a jamais osé définir… »
éloigner au prochain instant ou d’autres avaient envie de résister à l’air étrangement froid.
Les dernières minutes, que percent ces regards multiples, si passivement corrigés, s’apprêtent à nous quitter.
Un je ne sais quoi reste encore assez longtemps au service des cendres des matins suivants.
Cinq feuilles tapées se soulevaient, tel un fantôme, et que la nature ne voulait rien lui offrir, de tout ce qui rend susceptible à sourire avec la facilité la plus surprenante de toutes.
Selon la tradition, chez nous on appelle « la joie de vivre », cette sorte de convoitise de notre chère civilisation, ou un vocabulaire d’éclore s‘impose comme invité surréaliste d’une conversation écumante.
Mariage
Le plus gênant était : noter la fente qu’est l’oeuvre
parfaite de cette femelle libérée par un danger qui ne
se déteste pas. De temps à autre, on lui fait visiter la
salle de torture, ou plusieurs présences qui ne se
connaissaient pas, mais qu’unissait la même souffrance,
on les avait tant charmés, on pouvait deviner entre eux
une ressemblance vaporeuse, comme si elle descendait
d’un textile divin.
C’était le lac rituel, dont l’eau avait quelques sentiments
de culpabilité.
Au plein milieu, un petit rouge se vante de l’autre côté
de ces délices paisibles, sans plus penser, ni raisonner,
lorsqu’un plaisir est sorti à trois pattes, l’unique vase de
l’attention était vide.
À moi :
Non seulement le présent ne m’a jamais fasciné, mais je n’ai non plus la résistance de le contenir en ma pensée,les questions du réel ne me rêvent jamais, et, jusqu’à ce jour, je ne saurais m’imaginer en plein coeur de ce
«TARTARE» littéraire, participant à un complot, ou je suis assise, gentiment, au centre d’un problème vécu, ayant l’air d’un sang – mêlé. C’est vers cet espace qu’on se dirige après un combat découplé.
Ma belle, ma très lointaine espérance, et ma précédente vie dans la cité des anges, tu n’as donc rien
voulu lui défaillir, pendant les sept années bien complétées de notre rencontre, et que tu admires la
seule erreur, pliante dans un uniforme de fragments lumineux, qui ne dérangeaient pas le monde.
Quand tu as tenté d’ignorer ton regard, pour une nouvelle découverte, par une de ces nombreuses belles après-midi déclassées qui ressemblaient tant à un idéal trop beau, au musée des amours interdits.
Tout petit, je pensais enrouler une mousse de vices autour de ton relief invisible.
Tout bénin, j’ai fait provoquer des détails, sans me souvenir qu’ils grandiront dans un jour glacé, pour geler ma maison que j’ai construite à la perfection calculée.
Tout en flânant le long de quelques souvenirs des années silencieuses, j’aimerais entendre une fin gentillette, en une forme visible si généreusement humaine.
Visions
Certes, j’aime un idiome, qu’un seul pourra me faire
admirer, noir, donnant un air joyeux à chaque balancement du corps voilé, protégé à ta coquille de
mon produit.
Les quelques longs instants que durera son absence, harassant la marge qui la dénigre, était de tout temps, largement obsessionnelle, vers un suicide trop mûr pour être exécuté, je me suis mise à jouer cette comédie de victime muette, qui lui était déjà, une fâcheuse et ridicule habitude.
Les calmes étrangers, hésitant entre notre calme relation, qu’ils ont détruit avec un calme prestige et
déception.
Pas pour longtemps alors, ils avaient une longue missive mouillée, en matière grise de leur violent cerveau : ils se touchèrent délicatement de l’épaule dans une entrée
encore plus hasardeuse.
On ne pourra plus arrêter ce temps d’admiration, cette action au ralenti, cette étrange coïncidence qui enfila sa réception des indices éventuels.
Quelqu’un s’est fait passer pour moi…
Tiroirs
Plusieurs tiroirs au fond d’un mur de l’immeuble transparent, gluant un processus de dissolution
chimique, et restaient sans raclée, sans avoir le pont à lire les gros titres du journal.
« Son coup de théâtre était généralement très
franc!?» demande un être à son feutre…
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